Thursday, December 7, 2017
Andrej Babis sworn in as Czech PM
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Címkék: Czech Republic, Migration
Saturday, October 28, 2017
Spain Dismisses Catalonia Government After Region Declares Independence
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Címkék: Catalonia, European Council, Spain
Thursday, October 19, 2017
Austrian snap elections
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Címkék: Austria
Friday, October 6, 2017
European Union to get a single public prosecutor
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Címkék: Denmark, EPPO, Hungary, Ireland, Luxembourg, Malta, Netherlands, Sweden, United Kingdom
Saturday, September 30, 2017
EU sugar quota system comes to an end
(...)
Link
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Címkék: Agriculture, European Parliament
Tuesday, September 26, 2017
Cinq axes clés pour regonfler une UE essoufflée
Emmanuel Macron, dans un discours ambitieux et d’une rare densité, qui
rompt avec les cinq ans de silence obstiné observé sur le sujet par son
prédécesseur François Hollande, a plaidé pour une «refondation» de l’Union européenne d’ici à 2024 car «nous
ne pouvons pas nous permettre de garder les mêmes politiques, les mêmes
habitudes, les mêmes procédures, les mêmes budgets». Il n’a pas hésité à se placer dans les pas des «pères fondateurs» : «Je
pense à cet instant à Robert Schuman, le 9 mai 1950, osant proposer de
construire l’Europe. Je pense à ces mots saisissants : "L’Europe n’a pas
été faite, nous avons eu la guerre."» Décryptage des cinq points clefs de son discours.
Une Europe différenciée
Pour Macron, unité ne rime pas avec paralysie. S’il n’exclut
pas qu’à terme tous les pays de l’Union participent à toutes les
politiques européennes, y compris à l’euro, il refuse que les plus
réticents bloquent ceux qui veulent aller de l’avant, d’autant que «l’Europe est déjà à plusieurs vitesses, n’ayons pas peur de le dire. Allons vers ces différenciations» qui impliquent la mise en place d’une «avant-garde».
Pour rassurer les pays d’Europe de l’Est, qui sont visés, le chef de
l’Etat affirme qu’il ne veut pas bâtir de nouveaux murs mais «assurer l’unité sans chercher l’uniformité» et sortir de la recherche actuelle du «plus petit dénominateur commun».
Assumer que l’Europe n’ira pas du même pas avant longtemps ne veut pas
dire que ceux qui n’appartiendront pas au cœur nucléaire de l’Union
pourront faire ce qu’ils veulent. Outre les règles du marché unique, qui
continueront à se décider à vingt-sept et à s’appliquer aux vingt-sept,
«sur les valeurs de la démocratie et de l’Etat de droit, […] il ne peut y avoir d’Europe à deux vitesses». La Pologne et la Hongrie sont prévenues.
Une zone euro renforcée
Pour Macron, «le cœur d’une Europe intégrée», c’est l’euro. En préalable, il écarte toute mutualisation «des dettes du passé», un épouvantail outre-Rhin, et il se garde bien d’évoquer de futurs «eurobonds»
ou emprunts européens, meilleurs moyens de bloquer toute discussion. Il
estime cependant nécessaire un budget de la zone euro non pas pour
voler au secours des déficits publics, mais pour investir et disposer de
«moyens face aux chocs économiques» : «Un Etat ne peut, seul, faire face à une crise lorsqu’il ne décide pas de sa politique monétaire.»
Ce budget serait abondé par les taxes européennes sur les géants du
numérique qu’il veut mettre en place, la taxe carbone, voire une partie
de l’impôt sur les sociétés lorsque les taux auront été harmonisés.
Toujours afin de rassurer l’Allemagne, il réaffirme son attachement au
pacte de stabilité et à la coordination des politiques économiques dont
le pilotage serait assuré par un ministre des Finances européen (fusion
du poste de commissaire européen aux Affaires économiques et de celui de
président de l’Eurogroupe, l’enceinte réunissant les ministres des
Finances de la zone euro). Enfin, il veut qu’un contrôle parlementaire
sur la zone euro soit institué, sans dire s’il sera assuré par l’actuel
Parlement européen ou par un Parlement ad hoc.
Une Union protectrice
Le chef de l’Etat a particulièrement insisté sur la
transition énergétique rendue nécessaire par l’accord de Paris sur le
climat. Il veut notamment instituer un prix plancher de la tonne de
carbone, et, afin d’assurer une juste concurrence, instituer une taxe
aux frontières européennes sur les produits provenant de pays ne
respectant pas les standards européens. Il propose aussi de créer une
véritable communauté européenne de la voiture électrique afin «de traverser l’Europe sans l’abîmer».
Après les scandales alimentaires qui ont ébranlé l’Union, comme celui
des œufs contaminés, Macron souhaite accélérer la transition vers une
agriculture «écologique et responsable», notamment en assurant à
tous les agriculteurs des revenus décents, ce qui passe par une réforme
en profondeur de la politique agricole commune, «un tabou français»,
celle-ci réservant 80 % de ses aides à 20 % des agriculteurs,
généralement les plus intensifs. Il veut aussi la création d’une «force européenne d’enquête et de contrôle»
pour lutter contre les fraudes alimentaires, un domaine jusque-là
souverain, et réformer en profondeur les évaluations scientifiques
européennes. Le chef de l’Etat milite pour la mise en place d’une Europe
fiscale afin de mettre fin à la concurrence de tous contre tous, en
adoptant d’ici à 2020 une fourchette de taux d’impôts sur les sociétés.
Si un Etat ne la respecte pas, il serait privé d’une partie des aides
régionales (fonds de cohésion). De même, un salaire minimum européen,
variable selon les pays, serait créé. Enfin, Macron demande une
politique commerciale plus transparente, qui tienne compte des exigences
sociales et environnementales ainsi que la création d’un «procureur commercial européen» chargé de vérifier le respect des règles par les pays tiers et doté d’un pouvoir de sanction.
Une UE de la sécurité
Face à «l’inéluctable» retrait américain, l’Union n’a d’autre choix que d’assumer sa propre défense «en complément de l’Otan», affirme Macron. Il propose en préalable de créer «une culture stratégique commune» en accueillant au sein de l’armée française des militaires européens afin de participer «à nos travaux d’anticipation, de renseignement, de planification et de soutien aux opérations», Une initiative qu’il aimerait voir reprise par toutes les armées de l’Union. Ensuite, dès les années 2020, «l’Europe devra être dotée d’une force commune d’intervention», une proposition qui remonte à 1999 mais n’a jamais vu le jour, «d’un budget de défense commun et d’une doctrine commune pour agir».
Pour renforcer la coordination des services de renseignements européens
dans la lutte contre le terrorisme, le chef de l’Etat souhaite la
création d’une «académie européenne du renseignement» et que le
parquet européen en cours de création ait compétence dans les domaines
de la criminalité organisée et du terrorisme, alors que pour l’instant,
elle est limitée à la lutte contre les fraudes au budget communautaire.
Enfin, Macron veut rompre avec la politique du chacun pour soi en
matière d’immigration et d’asile, les pays de la «ligne de front»
étant laissés à eux-mêmes. Il propose la création d’un office européen
de l’asile, destiné à harmoniser les procédures, une proposition de la
Commission qui remonte au début du siècle, l’interconnexion des
fichiers, le renforcement de la «police européenne des frontières»
actuellement dotée d’effectifs symboliques, une gestion commune des
reconduites à la frontière et le financement européen de l’intégration
des réfugiés. Cette politique d’immigration passera aussi par un «partenariat avec l’Afrique»,
qui implique une augmentation de l’aide au développement, qui pourrait à
terme être financée par une taxe sur les transactions financières
européennes, un serpent de mer, qui prendrait comme modèle la taxe
française ou britannique.
La méthode
Macron ne veut pas se lancer d’emblée dans une réforme des
traités européens. Il évoque seulement deux réformes : une réduction de
la taille de la Commission de vingt-huit à quinze membres (comme cela
était prévu à l’origine par le traité de Lisbonne) et la création de
listes transnationales pour les élections européennes afin de créer un
espace public européen. Dans un premier temps, seuls les 73 postes
libérés par les Britanniques seraient concernés, mais il souhaite que la
moitié du Parlement soit élu à terme dans le cadre d’une
circonscription européenne. En clair, les partis européens désigneraient
ces candidats et non plus les partis nationaux. Pour le reste, il se
montre ouvert : soit des coopérations renforcées, soit un accord ad hoc,
soit une nouvelle législation communautaire. Mais il estime que tous
les pays devraient lancer des «conventions démocratiques» afin
que les citoyens soient consultés sur l’Europe qu’ils souhaitent : elles
se réuniraient pendant six mois en 2018 pour débattre et permettre aux
partis de s’emparer de leurs conclusions.
Liberation
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Címkék: Agriculture, Budget, Climate action, Defence, Energy, EPPO, Eurozone, France, Future of EU, Migration, multispeed Europe, NATO, Taxation
Sunday, September 24, 2017
Monday, June 19, 2017
Macron marches on as his party wins large majority in French parliament
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Címkék: France
Monday, April 17, 2017
Turkey's Erdogan declares referendum victory
Under the changes, most of which will only come into effect after the next elections due in 2019, the president will appoint the cabinet and an undefined number of vice-presidents, and be able to select and remove senior civil servants without parliamentary approval.
There has been some speculation that Erdogan could call new elections so that his new powers could take effect right away. However, Deputy Prime Minister Mehmet Simsek told Reuters there was no such plan, and the elections would still be held in 2019. (...)
The head of the main opposition Republican People's Party (CHP), Kemal Kilicdaroglu, said the legitimacy of the referendum was open to question. His party said it would demand a recount of up to 60 percent of the votes.(...)
Reuters
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Címkék: Turkey
Thursday, March 16, 2017
Dutch PM Rutte beats off far right but loses seats
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Címkék: Netherlands
Friday, March 10, 2017
Balkans must join the EU eventually
EU leaders placed the Balkans high on the agenda of their summit in Brussels to show that despite ethnic tensions and the scars from wars fought in the 1990s, the region is a priority for the European Union, particularly as Russia also seeks to increase its influence there.
"The Western Balkan countries have an unequivocal European perspective," said Jean-Claude Juncker, the head of the European Commission which is leading membership negotiations with Albania, Bosnia, Kosovo, Montenegro, Macedonia and Serbia. "We are not stepping away, but stepping in," he said.
Two years ago, Juncker said no new countries would join the EU during his mandate at the Commission, which runs until 2019. Officials said that was a technicality because the Balkans were not ready to join. But some in the region say the message damaged the EU's credibility.
Britain will hold a special summit on the Western Balkans in 2018, Prime Minister Theresa May said, while German Chancellor Angela Merkel also stressed the importance of the region.
Thursday's meeting did not prescribe new EU policies for the Balkans, but diplomats said European leaders would try to visit more often to encourage reform. "For the countries in the Balkans, that matters," said a senior EU official. "There's a sense that their European path has slipped away. But their only path is toward the EU."
Russia, which is trying to exploit its historic links in the region to challenge EU and U.S. involvement, opposes the accession of Balkan states into the EU. It refuses to recognize the independence of Kosovo and opposes Montenegro's membership of the U.S.-led NATO alliance.
The Balkan countries are at various stages of reforms aimed at paving the way for EU membership, with Serbia seen as a linchpin whose development could pull up others.
But despite some progress over the past five years, reforms across the region to the judiciary and the business climate have stalled, allowing organized crime to flourish and encouraging more migrants to head north to the EU. Britain's May warned of "the potential for increased instability and the risks ... to our collective security."
Macedonia is mired in a political crisis, while Serbia does not recognize the independence of Kosovo, its former province, and accuses it of seeking a war with Belgrade.
In Montenegro, both pro-Western and opposition parties are boycotting the parliament following a recent vote in which they say people were intimidated to back the government.
Reuters
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Címkék: Albania, Enlargement, European Commission, European Council, Germany, Kosovo, Macedonia, Migration, Montenegro, NATO, Russia, Serbia, United Kingdom
Thursday, March 9, 2017
EU leaders defy Warsaw to reappoint Donald Tusk
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Címkék: European Council, Poland, President
Wednesday, March 1, 2017
Commission outlines 5 scenarios for future of EU
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Címkék: Brexit, Defence, European Commission, Eurozone, Future of EU, multispeed Europe, Schengen, Taxation
Saturday, February 4, 2017
EU voices 'full support' for Italy-Libya accord
"We must all be aware that it is a first step," he warned, however. "The internationally recognised Libyan government does not have the same control as Erdogan, to make a comparison. You can't expect the situation to suddenly change".
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Címkék: European Commission, High Representative, Italy, Libya, Malta, Migration
EU founders speak of possible 'multispeed' future after Brexit
After a summit in Malta at which all national leaders discussed plans for a formal declaration in March on the future of the bloc following Britain's departure, Merkel and others offered endorsements of a so-called "multispeed Europe", which some governments fear could damage EU unity in the wake of Brexit.
Though they disagree on details, Berlin, Paris and many of the 17 other states which use the euro currency are keen to bind the euro zone closer together after years of crisis in which investors have doubted the currency's survival. But some countries around the periphery of the bloc fear creating a system in which a hard core of states pushes the EU into policies they do not want.
The last few years, Merkel told reporters, showed "that there will be an EU with different speeds, that not everyone will take part in the same levels of integration".
One area in which governments are divided over the degree of integration is defence. With the departure of long-time sceptic Britain, France and Germany are keen to develop closer EU ties.
The 27 leaders are due to meet without British Prime Minister Theresa May on March 25 in the Italian capital to celebrate the 60th anniversary of the founding Treaty of Rome.
French President Francois Hollande said he thought that the Rome statement could mention "several speeds" as a possible way forward, though he stressed: "European unity is essential."
In a reminder of divisions in the bloc, Hollande, who will step down in May, took a dig at East European states which Paris complains fail to honour commitments -- such as taking in asylum-seekers -- while accepting big subsidies from Brussels:
"Europe isn't a cash-box, not a self-service restaurant, a Europe where you come and take what you need, where you take your structural funds or get access to the internal market and then show no solidarity at all in return," he told reporters. "Europe was built to be stronger together and it's that rule, that principle, which should be driven home in March."
In a paper offering proposals for the Rome declaration, the three Benelux neighbours said "different paths of integration and enhanced cooperation could provide for effective responses to challenges that affect member states in different ways".
Reuters
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Címkék: France, Germany, Italy, Malta, multispeed Europe
Monday, January 23, 2017
Donald Trump BATTERS Brussels with order to STOP EU Army plans or lose US Nato support
PRESIDENT TRUMP will demand Brussels abandons plans for an EU Army if it wants the US is to continue its support for Nato.
While European defence spending is the primary concern, insiders warned that Trump would also be gauging Europe’s “boots on the ground” commitments.
The US currently fields six Brigades in Europe, including the newly arrived 3rd Armour Brigade which boasts hundreds of armoured vehicles, including 87 tanks, and 3,500 troops to boost Nato’s efforts to deter Russia in Eastern Europe.
Of Europe’s Nato members, only Britain and France have put themselves forward to lead three of its remaining four battalions.
“President Trump is a numbers man. Defence spending is one thing, but when he meets with Nato chiefs in Brussels later this year, he will do the math: the US is deploying almost six battalions in Europe. How does this stack with Europe’s commitment? The US and Germany are playing their part but what about the rest?”, said another source close to the administration.
He said that Trump’s use of the word “obsolete” to describe Nato had been misinterpreted, adding: “He means that Nato must adapt to 21st Century challenges, including a counter–terror role.
“President Trump realises that, for just one per cent of the US defence budget, he can call upon 27 nations to stand up with it around the world.
“Europe supplied 40,00 troops to Afghanistan. That equates to 120,000 in real terms because for each soldier, two are in rotation. That's 120,000 US troops who didn't have to go to battle.”
During his campaign Trump pledged tens of thousands of new US troops, dozens of ships and hundreds of warplanes, plans would cost almost $100 billion more than the Pentagon has currently budgeted for Trump’s first term.
Rudi Giulliani, a key figure in Trump’s campaign, said the President was adopting a Reagan-like “peace through strength” strategy.
The former New York Mayor, who had dinner with Trump on Wednesday, said: “He believes that of the last 30 presidents of the last 50 -60 years, the most successful was Ronald Reagan, because he negotiated from strength and, lo and behold, won the cold war without firing a shot.”
The controversial 1000-strong Euro Corps was formed in 1993 and is spearheaded by a German- Franco brigade of troops. It provided HQ staff for operations in Afghanistan in 2004 and currently supports an EU maritime operation against pirates off Somalia. Directed by Brussels it is manned by 10 EU member states and Turkey. While in the EU, Britain used its influence to block its expansion.
Brexit was met with the immediate publication of plans to build a military new headquarters, as the EU scrambled to reinforce the project’s identity.
Separately, Germany’s defence white paper revealed its own ambitions to lead a pan-European force.
The moves have caused concern in the Trump camp.
“He is committed to NATO – but there is big concern about the EU moving towards an EU army, a military of Western Europe,” said Ted Malloch, President Trump’s new ambassador to the EU, recently.
Last night Ian Brzezinski, resident senior fellow with the Washington DC-based Atlantic Council think tank, said: “Where the EU is most effective is in leveraging its $17 trillion economic weight and in fostering economic development and democratic reform.
“When it develops military command structures and other military capacities it is institutionalizing duplications that serve no benefit.
“Nato is unsurpassed when it comes to so-called putting lead on a target and interoperability. The power of Nato-EU collaboration is found in their complimentarity, not redundancy.
He added: “With the appointment of Gen Mattis, a big supporter of Nato, as defence secretary, and the current Supreme Allied Commander Europe, Gen Curtis Scaparrotti, President Trump has a hammer and anvil with which to accelerate Nato’s transformation. “
http://www.express.co.uk/news/politics/757235/Donald-Trump-EU-Army-Nato-funding-European-Union-President
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Címkék: Defence, External Relations, France, Germany, NATO, Russia, United Kingdom, USA
Tuesday, January 17, 2017
Theresa May: We’re leaving the single market
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Címkék: Brexit, Budget, Internal Market, United Kingdom
Monday, January 9, 2017
More than half a million illegal immigrants entered the European Union last year
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Címkék: Eritrea, Frontex, Gambia, Greece, Guinea, Ivory Coast, Migration, Turkey
Thursday, January 5, 2017
Romania Chooses Left-Leaning Government
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Címkék: Romania
Tuesday, January 3, 2017
Year in review: 2016 in the European Union
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